Nantes: Pour ses 50 ans, le groupe OCEANIA HOTELS multiplie les ouvertures d’hôtels de caractère ciblant à la fois tourisme et affaires.
Tonnerre de Brest ! Dans trois ans, ça fera déjà cinquante ans. Cinquante ans que François Branellec a ancré son premier hôtel en son fief brestois. Quel bel essor depuis, le groupe breton, aujourd’hui présidé par son fils Gurvan, en comptant vingt-sept, sur dix-huit destinations, de Biarritz à Clermont-Ferrand et de Tours à Marseille. OCEANIA Soit quelque deux mille chambres en trois ou quatre étoiles. Sous enseignes Oceania, Escale Oceania et Nomad Hôtels, elles s’inscrivent dans trois créneaux : bord de mer, bien-être et city break, l’Oceania de Nantes, dit aussi Hôtel de France, étant emblématique de ce dernier. OCEANIA Situé en plein coeur de la ville, à deux pas du célèbre Passage Pommeraye, il a pour somptueux cadre l’ancien hôtel particulier de M. De Graslin, receveur général des fermes de Louis XVI et fondateur de la place et du théâtre voisins qui portent son nom.
« De notre hall au majestueux plafond à caissons à notre lobby circulaire et à notre cosy salon-bar, nous mettons en lumière la singularité du lieu. Chez Oceania, matières et lumières subliment des lieux de mémoire, notre clientèle étant attachée à nos atmosphères, qu’il s’agisse de tourisme ou d’affaires. Nous proposons d’ailleurs des espaces de télétravail et de coworking, et du day use », souligne Edith Le Hors, la directrice, de ce quatre-étoiles de charme, qui propose une formule « week-end malin » comprenant nuit, petit déjeuner et pass-découverte avec accès à trente sites de Nantes et sa région. L’hôtel a aussi pour avantage d’être situé à un jet de bouchon de l’éclatante brasserie Belle Epoque qu’est « La Cigale ». On aura compris que les Oceania soignent le décor, le navire amiral de la flotte, l’illustre « Continental » brestois étant d’ailleurs en rénovation. Au-delà de son programme de lifting, le groupe familial (propriétaire à 80% des murs) continue à décliner ses enseignes. OCEANIA Notamment à Lille où il a racheté le siège social de la banque Scalbert-Dupont, ce bâtiment quasi centenaire, classé en site patrimonial remarquable, devant être réhabilité pour en faire l’un des tout premiers hôtels bas carbone en France. Tandis qu’à Dijon, Oceania Hôtels renforce sa présence au pied de la gare avec un hôtel de la marque Nomad, concept éco-responsable et connecté. De Lyon à Paris, d’autres ouvertures sont aussi programmées pour une vague Oceania qui, depuis un demi-siècle, n’aura cessé de grossir, doucement mais sûrement, foi de Bretons. Oceania – Hôtel de France 24, rue Crébillon – 44000 Nantes 02 40 73 57 91
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
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