Hôtel JIVA HILL RESORT : Le lâcher prise au pied des montagnes du Jura
Membre de la prestigieuse collection des Relais & Châteaux, le Jiva Hill Resort, hôtel 5 étoiles n’est qu’à un jet de pierre de Genève et très très proche de la Réserve Naturelle Nationale de la Haute Chaîne du Jura. Son environnement immédiat entre plaine et piémont Jurassien, invite à la déconnexion et au lâcher-prise.
Avec une vue face au Mont Blanc également, le paysage apaise les sens dès le premier regard. Le Jiva, qui en sanscrit Bouddhiste signifie vie, est un resort qui offre une très large palette d’activités sportives. Dès l’entrée du domaine de 50 hectares, certaines offres y sont déjà affichées. Un golf de 9 trous et 18 départs, 2 courts de tennis en terre battue, de l’initiation au ski nautique (qui est même une école du genre) et même au wakeboard, sur la base nautique voisine, intégrée au domaine. Le vélo est aussi au programme, les parcours de jogging et running sont balisés, sans oublier la possibilité d’excursions en hélicoptère au départ de l’hôtel.
Côté Chambres, la décoration épurée transporte l’hôte client sous plusieurs continents en simultané, avec certains hébergements au look lodges sud-africains, quant d’autres bungalows nous transposent dans un univers suédois où le bois et le métal se conjuguent à la perfection. Avec 52 chambres et suites au total, la subtile déco et le design intérieur se déclinent en camaïeux de beiges et de bruns.
On dénombre pas moins de 6 styles et catégories d’hébergements au Jiva Hill avec 12 chambres supérieures, 4 autres avec vue imprenable sur la montagne, 24 autres chambres baptisées Deluxe, 4 Deluxe d’angle au volume différent, viennent ensuite 4 lodges avec jacuzzi, 2 suites Jiva Hill et enfin 2 Suites familiales. Une métamorphose orchestrée, pas seulement dans les chambres, par l’architecte d’intérieur Christina Gherardi Benardeau, qui a su changer l’atmosphère des lieux en parfaite osmose avec l’environnement naturel. Un Hôtel resort avec vue, ou plutôt devrait on dire avec des vues.
Coté table, le Jiva Hill propose deux restaurants, pour deux ambiances bien distinctes. La gastronomie tient ici une place de choix. Avec le restaurant « Le Jardin » embarquement pour une gastronomie Transalpine. La carte de Francesca Lazzari propose une interprétation contemporaine des plats les plus typiques d’Italie, enrichissant l’expérience d’un séjour placé sous le signe de la détente et de la gourmandise. A noter : les Linguines aux palourdes et coques à la Vénitienne et le râble de lapin enrobé de lard, carottes et moutarde au kiwi.
Au restaurant Le Jiva, le chef Jean François Vasseur propose une cuisine bistronomique. Sa signature culinaire au bon gout du terroir marie habilement tradition, audace et créativité. La carte se nourrit d’une sélection des meilleurs produits de la région, minutieusement goûtés en amont et réservés auprès des meilleurs producteurs de ce territoire gourmand. A tester sans hésitation : le lièvre à la royale, farci de foie gras et truffe melanosporum sauce au Gevrey-Chambertin ou bien encore Le sanglier cuissot confit au jus et effiloché, poêlée de champignons. La très grande disponibilité, l’attention portée aux hôtes clients et la gentillesse du service mérite d’être plus que relevée dans cette adresse d’exception.
Un séjour au Jiva Hill ne saurait être optimal sans un passage au spa « In & Outdoor » c’est son nom, où jacuzzi, sauna, et hammam forment la trilogie essentielle du bien être. La carte des soins de la gamme des produits Sothys complète le tableau de cette parenthèse sensorielle. Aussi, une piscine intérieure de 17 mètres et une salle de fitness sont à porter au menu de ce spa. On l’aura compris, aucun motif ou alibi n’est à rechercher pour séjourner au Jiva Hill, tant il sait fédérer en un seul et même lieu : amoureux de la nature, sportifs de tous niveaux, afficionados du bien être, et gastronomes en quête constante de découvertes gourmandes. La déconnexion entre Lac Léman et Jura. www.jivahill.com
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
http://www.infotravel.fr/voyages-insolites/compagnie-volotea-deploie-ailes/