HOTEL l’AMIRAUTE À BREST , L’adresse à faire pâlir de jalousie le Tonnerre de Brest en personne.
L’hôtel existe depuis 1992, mais a réellement démarré ses activités l’année suivante. Tour à tour labellisé Holiday Inn, cet hôtel Brestois, situé au plus près de l’artère principale commerçante de cette cité portuaire, fut durant un certain temps une enseigne Océania, un autre groupe breton bien implanté dans le deuxième port actif de la Marine Nationale.
Après un changement de propriétaire et plusieurs mois de travaux, effectués durant la période de confinement dû au Covid, l’hôtel Amirauté, membre aujourd’hui du Groupe Beautiful Life Hôtels s’est refait un lifting complet où la beauté du design et un service très personnalisé frise la perfection. Avec un total de 84 chambres très exactement, offrant un calme absolu en cœur de ville, l’Amirauté séduit le client voyageur dès l’arrivée dans le lobby. Le cabinet d’architectes designer Brestois, dénommé Trace, a su 6 mois durant, redessiner les espaces de vie et mettre à profit une élégante redistribution des chambres et des lieux de prestations et services proposés par l’hôtel.
« Se sentir comme à la maison » est le credo d’une équipe très professionnelle et très disponible placée sous l’autorité du commandant Jean Luc Bouvier : allégorie bien volontaire à la Marine Nationale, quand on dirige un établissement baptisé Amirauté. Un bel établissement, totalement rénové et repensé et qui se veut sans cesse à l’écoute des demandes de ses clients.
Car en matière d’équipements, cette adresse Brestoise dispose de tout ce qu’un hôte peut souhaiter pour son séjour. Une salle de fitness dotée de la lumière du jour avec les équipements de « running » dernier cri, un restaurant de 50 couverts, conjuguant les recettes terre & mer à quantité équivalente. Des fruits de mer et autres poissons sans oublier les élevages de porc breton se retrouvent à la carte de « La Table de l’Amirauté », c’est son nom, vaste et lumineuse, et proposant des tables en alcôves privées dans certains recoins du restaurant. Ce n’est pas un restaurant d’hôtel mais bel et bien une adresse gourmande sur laquelle il faut désormais compter à Brest. Le Chef Vincent Oulière, passé un temps par l’île de la Réunion sait marier les saveurs et les couleurs dans les assiettes.
On peut prolonger sa soirée par un éventuel ‘after’ au bar avec les salons du lobby mis à disposition. L’après soirée se fait dans un décor mi vintage, mais très design, et avec un mur de verdure. Une déco bibliothèque confère au lieu une ambiance salon privé. Justement, à noter dans cet établissement, un salon très privé, équipé d’une grande table pouvant accueillir 8 personnes, pour une réunion d’entreprise, pouvant s’enchaîner par un déjeuner ou dîner en toute privauté. Ces déjeuners ou dîners où la confidentialité va de pair avec la qualité des accords Mets & Vins. Car ici, à l’Amirauté, la clientèle corporate est une clientèle fidèle. Les grandes entreprises Brestoises comme Naval Group, Thales ou encore Arkéa fréquentent cette adresse d’hébergement et de restauration. On croise aussi des équipages Air France en escale entre deux rotations commerciales. La durée moyenne des séjours est de deux nuitées pour l’ensemble de la clientèle des hommes et des femmes d’affaires. Les clients loisirs et familles quant à eux séjournent ici surtout les week-end et de la mi Juillet à fin Aout avec une moyenne pouvant atteindre les 3 nuitées.
Autres atouts de l’Amirauté sa situation géographique à nul autre pareil, très proche des transports en commun, avec un réseau de tram efficace, et sa légendaire rue du Siam, là où l’Ambassadeur du roi de l’actuelle Thaïlande, débarqua d’un bateau pour aller rencontrer le roi Louis XV. Nous sommes alors en Juin 1686, et les Brestois furent impressionnés, dit on par ce cortège venu par mer, d’un lointain et presque inconnu royaume d’Asie du Sud-Est : le Siam. La ville de Brest a d’ailleurs inauguré une statue à son effigie en centre ville. Et à Bangkok, on a du coup inauguré la Rue de Brest : témoignage de 336 ans d’amitié entre les deux peuples. Notons enfin, que l’hôtel Amirauté est aussi pratique pour un accès facile en auto avec sa trentaine de places de parking privé, un véritable trésor en centre ville. On notera aussi, la déclinaison marine sur les uniformes des personnels de réception et de restauration, qui nous rappelle à chaque instant que le paquebot Amirauté est à quai pour offrir le meilleur accueil et service, dès l’embarquement, à ses hôtes passagers terrestres. En longue ou courte escale un séjour à l’Amirauté c’est comme voyager en première classe d’un luxueux paquebot. https://www.hotel-brest-amiraute.com Texte et photos : Richard Bayon
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
http://www.infotravel.fr/voyages-insolites/compagnie-volotea-deploie-ailes/