Leader mondial des résidences hôtelières, le groupe Ascott fait de Vienne une ville emblématique de ses enseignes Citadines, lyf et Somerset. Belle opportunité pour valser dans les pas de Sissi.
Vienne ! La plus romantique des capitales européennes est aussi la plus zen, puisque arrivée première du Top 10 des villes les moins stressantes du Vieux Continent. RICHARD BAYON Devançant Munich, Édimbourg et Copenhague, la cité de Sissi l’impératrice l’emporte donc au palmarès des destinations d’expatriation où la vie est plus douce qu’ailleurs. Dressé par un cabinet en assurance, spécialisé dans l’expatriation, ce classement s’est reposé sur des facteurs tels que la propreté, la qualité des espaces verts, le coût de la vie et la sécurité pour les personnes LGBTQI. RICHARD BAYON On comprend dès lors le bel avenir de cette ville du passé qui valse sur des airs de Strauss. Un avenir touristique sur lequel mise le groupe Ascott, leader mondial des résidences hôtelières, avec quelque 94 000 unités en exploitation et 64 000 en développement, dans près de 950 résidences. Lancée il y a tout juste quarante ans à Singapour, cette société s’est imposée en pionnière d’un concept « d’apart’hotel » aujourd’hui en vogue au cœur des grandes villes. Avec ses logements modulables, du studio au 3-pièces et ses cuisines équipées, la formule fait recette en Europe, le séjour moyen étant de cinq ou six nuits contre à peine plus de deux à l’hôtel. RICHARD BAYON Marque phare de ce créneau porteur, née à Paris en 1984, Citadines s’enorgueillit aujourd’hui d’un portefeuille de quelque 200 établissements, dans 30 pays. Sacrée « meilleure marque de résidences hôtelières au monde » lors des World Travel Awards 2023, l’enseigne ne s’endort pas sur ses lauriers. Parallèlement à la rénovation du parc existant, elle poursuit son développement en Europe où elle compte déjà 44 résidences. Ainsi vient-elle d’ouvrir son deuxième établissement dans cette sereine Vienne où elle exploite déjà son Citadines South Vienna. Avec au nord son tout nouveau – tout beau Citadines Danube Vienna, la marque voit l’émergence d’un label haut de gamme des plus prometteurs. Ses 223 chambres et appartements climatisés (de 23 m2 à 61 m2) offrent plus qu’un confort, un luxe. RICHARD BAYON De l’ameublement à la décoration, tout a été pensé là dans un esprit de raffinement et de bien-être, avec coffre-fort, TV Chromecast et surtout cuisine (très bien) équipée. Au-delà de son cosy « comme chez soi », le résident peut profiter d’une salle fitness, d’une buanderie, et d’une salle de restaurant donnant au 12eme étage sur un rooftop ouvert sur la ligne d’horizon de Vienne. Et on offre même un room-service de pizza. RICHARD BAYON On aura compris qu’on ne voit plus très bien la différence avec un hôtel de luxe, hormis un personnel moindre. Visant tant le touriste que la clientèle d’affaires, l’apart’hotel s’enorgueillit évidemment de salles de réunions. Situé au cœur du futuriste projet de développement urbain de Vienna TwentyTwo, il est aussi proche du plus grand centre de convention autrichien et du grand centre commercial Donau Zentrum, le lac du Vieux Danube étant accessible à pied en dix minutes. Et pour le Vienne historique, vingt minutes de métro suffisent pour se retrouver face à la somptueuse cathédrale. RICHARD BAYON Le groupe Ascott vient aussi de s’investir à Vienne, quartier Schönbrunn, dans deux autres enseignes, lyf et Somerset, elles aussi appelées à une forte croissance. Lesquelles proposent des espaces et appartements tournés vers un esprit de communauté et de partage à destination des nomades numériques, technopreneurs et startuppeurs. Avec la marque de co-living et happy-working lyf (Live your Freedom), il s’agit de privilégier l’interaction avec des voyageurs de la « prochaine » génération qui partagent les mêmes centres d’intérêts, tous les espaces sociaux (ouverts jour et nuit) étant conçus pour encourager les expériences collaboratives et développer le sentiment de communauté. La terrasse Skyward et la laverie automatique Wash & Hand invitent ainsi à jouer au baby-foot (géant !) tout en faisant la lessive, tandis que la cuisine sociale Bond permet aux hôtes de se rencontrer en cuisinant. Comptant 162 appartements répartis en trois catégories, ce « lieu de vie dédié aux nouveaux voyageurs » prend place dans le même site que la résidence Somerset qui, elle, répond avec 175 appartements à la demande croissante de voyageurs intergénérationnels. Proposant plusieurs catégories de grands logements, allant de 40 à 72 m2, elle bénéficie ainsi d’un attractif kids club et met l’accent sur « un mode de vie responsable ». RICHARD BAYON Les clients sont même invités à se déplacer à vélo grâce à la location gratuite sur place. Les prix ? 119 € pour un appartement 4 personnes au Somerset Schönbrunn, 89 € en « level up » au lyf Schönbrunn Vienna, et seulement 79 € pour une chambre ou un studio au Citadines Danube Vienna. En ces temps où le tourisme urbain a repris de belles couleurs et où Vienne accueille quelque 8 millions de visiteurs par an, on aura compris qu’avec ces tarifs serrés, le groupe Ascott entend se positionner comme le pionnier d’un nouveau concept de résidences hôtelières associant la convivialité d’un appartement confortable à un large choix de services hôteliers. Belle opportunité pour aller valser dans les pas de Sissi. . danube@citadines.com . lyf.schonbrunn@the-ascott.com . somerset.schonbrunn@the-ascott.com
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
http://www.infotravel.fr/voyages-insolites/compagnie-volotea-deploie-ailes/