Hotel Citizen M Champs Elysées « Café Couette à un jet de pierre des Champs »
Avec l’ouverture toute récente du Citizen M Champs Elysées, le 1er Septembre dernier, c’est le quatrième établissement Parisien que vient d’ouvrir la chaîne d’origine néerlandaise *. Il y eut d’abord l’ouverture de celui de CDG, sur l’enceinte même de la plate-forme aéroportuaire (face au Concorde statique), puis un deuxième établissement à Paris-la-Défense en vis à vis de la salle de concert et omnisports « la Défense Arena », enfin la chaîne Hollandaise lança le Citizen M à Paris Gare de Lyon. Des lieux géographiquement stratégiques pour les voyageurs nomades, qu’ils soient en déplacement d’affaires ou bien en voyages vacances & loisirs.
Avec Citizen M, vous êtes proche d’une gare, d’un aéroport, d’un centre d’affaires, et maintenant avec le Citizen M Champs Elysées, vous résidez à un jet de pierre de la plus belle avenue du monde. A vous le shopping, ou bien le « lèche vitrines », et l’ambiance des Champs, que l’on remonte l’Avenue vers l’Etoile , ou qu’on la descende, le spectacle est permanent. C’est au tout début de la rue de la Boétie, à 30m des Champs-Elysées, que ces deux ex-bâtiments de bureaux réunis, abritent les 151 chambres de ce tout dernier fleuron de la chaîne made in Pays-Bas.
L’hôtel, fidèle à la réputation du Groupe Citizen propose ses chambres intimistes au confort high-tech sur cinq étages, mais il en occupe sept au total avec réception, salons, bar restaurant, lounges et plusieurs terrasses. Au Citizen M, les chambres sont des cocons où rien ne manque, avec tout d’abord un vaste lit en hauteur, avec une couette dont l’adjectif douillet est faible, en ce qui la concerne, tellement c’est un bonheur de s’y glisser dedans. Le lit dispose d’imposants coffres de rangement situés sous votre sommier permettant de laisser l’espace libre. Le vaste écran de tv se pilote par une tablette, tout comme les rideaux, les stores, l’éclairage et moult autres fonctionnalités. Le cabinet de toilette se voit compléter par un coin ‘vanity’ lavabo pour parfaire votre barbe messieurs, ajuster votre maquillage mesdames. A noter une insonorisation érigée en must dans les chambres et couloirs de cet hôtel comme dans les précédents établissements, déjà visités et testés de cette chaîne Made in Holland.
Mais les atouts maîtres de cet établissement se trouvent à deux étages bien distincts. Au deuxième étage côté cour, on trouve une agréable terrasse brasserie où l’on peut au choix déjeuner à l’ombre sous abri ou au soleil à l’air libre. Côté jardin, une terrasse deux fois plus vaste offre sur différents niveaux et au milieu d’un petit parc paysager, des salons, où il fait bon siroter un verre, entamer une longue discussion, et refaire le monde entre deux cocktails.
Mais ce n’est pas tout, au 8ème étage par ascenseur, se trouve l’inattendue surprise de cet établissement. Un bar aux néons colorés, stylés et graphiques, fait le trait d’union entre un « rooftop » en arc de cercle d’un côté, d’où la vue porte sur le Sacré Cœur au nord et d’où se détache la Tour Eiffel au sud.
Et de l’autre côté, un balcon terrasse invite au plus glamour des apéritifs avec vue plongeante sur une section des Champs Elysées et une vue encore plus dégagée sur la Tour Eiffel. Autre atout et pas des moindres, la gentillesse proverbiale d’une équipe internationale, prévenante, attentionnée et très affutée sur la carte des boissons, vins et cocktails proposés au vaste bar restaurant. Des sommelières en devenir. Enfin si le petit déjeuner buffet est un instant de plaisir indéniable, il conviendra de revoir la copie sur les plats proposés à la carte digitale car trop courte en choix et saveurs.
On n’omettra pas de rappeler les enregistrements sur bornes automatiques, ainsi que, idem pour l’étape du check-out, une procédure qui vous simplifie votre arrivée et départ en quelques touches, assisté par des hôtesses bienveillantes au cas où l’outil numérique vous semble impersonnel et alambiqué. Les différents salons et autres alcôves propices au petites réunions et travail sur ordinateurs portables sont des plus à mettre au crédit de l’aménagement intelligent de l’hôtel. Dans les Citizen M, la chambre c’est un cocon propice aux songes, et les lieux de vie communs à tous les clients : des oasis de convivialité. https://www.citizenm.com/fr/
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
http://www.infotravel.fr/voyages-insolites/compagnie-volotea-deploie-ailes/