La route de Saint-Jacques de Compostelle traverse le Lot, et permet de découvrir des paysages uniques tout au long du chemin.
Qui n’a pas déjà fait ou rêvé de faire le chemin de Saint-Jacques de Compostelle également connu sous le nom de voie du Puy-en-Velay, Via Podensis ou GR65.
Il est temps d’explorer les multiples facettes de ce chemin et de le vivre autrement. Dans le Lot, au-delà d’un périple en quête de soi ou de déconnexion, le chemin offre bien plus…
LES VARIANTES DU GR 65
Il est surprenant de parler d’une variante méconnue du chemin tout en mentionnant la célèbre cité de Rocamadour. Pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle d’autrefois, se rendre à Rocamadour n’était pas considéré comme une simple « alternative ». En réalité, c’était l’objectif même de leur voyage, car le sanctuaire abritant les reliques d’Amadour et la statue de la Vierge Noire, a acquis une réputation mondiale au fil des siècles. Cependant, de nos jours, la variante du GR 6 via Rocamadour est moins fréquentée, bien qu’elle vaille vraiment le détour…
UNE AVENTURE ARTISTIQUE
Le chemin lui-même devient la toile de fond des artistes, un support inattendu mais au combien inspirant. Des intiatives artistiques voient le jour le long du GR65 comme « Fenêtres sur le Paysage » ou « le Chemin-livre ». Quelles aient pour but d’offrir des abris insolites aux marcheurs ou bien de leur raconter une histoire, sans aucun doute elles interpellent et plongent le spectateur dans un moment de contemplation et d’émerveillement.
Le chemin devient ainsi une toile vivante où l’art et la beauté se mêlent harmonieusement, enrichissant ainsi l’expérience des voyageurs.
LE CHEMIN, RASSEMBLEUR DES HOMMES
1 fois par an dans le Lot initialement et maintenant au niveau national, le chemin rassemble les hommes.
Des bénévoles amoureux de leur terroir qui donnent de leur temps pour entretenir et restaurer ce patrimoine et le savoir-faire traditionnel.
Une rencontre entre les hommes mais aussi une rencontre avec ce territoire, ce sont les « 1000 mains à la pate ».
