VALLOIRE : Station la plus au sud de la Savoie, et l’un des rares points de passage entre Alpes du Nord et Alpes du Sud, le domaine skiable de Valloire-Galibier-Mont Thabor est, à plus de 80%, situé à plus de 2000m d’altitude.
Si le bourg de Valloire s’étale dans une haute vallée à 1500m d’altitude, les différents départs de télécabines de cette station de la Maurienne vous portent très vite au-dessus des 2000m, en connexion avec tire-fesses et autres télésièges, dont le tout nouveau télésiège de Montissot.
A Valloire, le ski a été lancé par des régiments de Chasseurs Alpins, ce qui confère à cette station une déjà longue tradition en matière de Sports d’Hiver. Valloire compte 60% de clients fidèles, avec une clientèle étrangère qui grandit chaque année. On classe les skieurs de Valloire dans trois familles de clientèle : Les régionaux (Lyonnais, Savoyards, Grenoblois), le reste de la France, notamment lors des vacances de Noël et d’Hiver. Puis viennent les Européens de tous horizons : Bénélux, Britanniques, Italiens, Europe de l’Est, dont 5% de tous ceux là, arrivent via les aéroports de Grenoble et de Chambéry, bien desservis en saison d’hiver par ces fameux vols ski.
Il conviendra d’ajouter la clientèle Asiatique, très attirée par la beauté des Alpes et le côté insolite des Sports d’Hiver. Cependant, leur séjour est souvent bref. Les alpes sont devenues célèbres grâce à des séries Tv en Asie. Ainsi Valloire, en 2020, optimise ses flux de clientèle, sur les pistes avec ce nouveau télésiège de six places débrayable, un outil qui assure la liaison entre le massif du Sétaz et celui du Crey du Quart. Un débit multiplié par 5, optimisant ainsi le confort et l’attente des skieurs et fruit d’une construction ingénieuse, respectueuse de l’environnement, avec deux gares en moins et trente pylônes disparus.
Autre innovation, à Valloire, pour le confort des afficionados du ski, un nouvel espace de vente où la gestion des forfaits se fait depuis un vaste ensemble de guichets, permettant là encore de fluidifier les attentes des clients. De nouvelles bornes de distribution des ski-pass, sont également disponibles au départ de chaque remontée mécanique, pour ceux qui ont un forfait, déjà réservé, via un flashcode imprimé. Enfin, à l’heure du tout numérique ou presque, Valloire propose deux applications intelligentes en ligne ayant pour noms Lyko et Pledg. Lyko optimise votre mobilité pour vous rendre en station avant votre séjour, en vous proposant sur une seule et même plateforme : covoiturage, navette partagée, vtc ou encore van privé. Comment avoir une attitude écologique et sociable aller et retour depuis chez vous…
Enfin Pledg, c’est la solution , toujours via une plateforme en ligne, pour payer en plusieurs fois, payer en différé et payer à plusieurs, à l’heure où une somme de forfaits ski pour une famille représente un budget non négligeable. Pour ce qui est de l’ambiance côté pistes : on apprécie toujours la vue sur le Grand Galibier, l’Aiguille Noire, le Mont Thabor, ou encore les Aiguilles d’Arve.
Côté ville, le savoureux mélange de chalets en bois et de vieilles maisons alpines, reflète bien l’âme du Vieux Valloire, qui ne perd toujours pas son âme par de massives constructions pour l’heure. Valloire reste aussi très connue pour son concours de sculptures sur glace et sur neige (c’est maintenant pour celle ci) et c’est aussi une ville étape du Tour de France, quand les coureurs descendent ou montent vers le mythique col du Galibier. Ski l’hiver, Vélo l’Eté, les priorités de la Maurienne… www.valloire.com
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
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