Colorée, chatoyante, attirante, historique et bien vivante : Obernai la belle est sur la Route des Vins d’Alsace et au pied du Mont Ste Odile.
Avec sa communauté de communes du Pays de Ste Odile (Sainte Patronne des Alsaciens) regroupant un total de six communes : Bernardswiller, Innenheim, Krautergersheim, Meistratzheim, Niedernai et Obernai, c’est bien un riche et très dynamique territoire d’Alsace qui s’offre au visiteur. Une terre de caractère et de personnages, où l’initiative du moment a pour nom de campagne : « Partageons nos coups de cœur ». Un leitmotiv fédérateur qui met en avant les habitants de ce territoire sur le devant de la scène pour aller à la rencontre et au service des voyageurs et autres touristes venus de tous les horizons. L’accueil du visiteur de passage ou en séjour, c’est ici, le premier crédo, partager sa passion, on devrait plutôt dire ses passions, c’est le deuxième engagement des gens d’Obernai. L’objectif à atteindre, vous faire aimer ce territoire et vous donner envie de revenir aux quatre saisons.
Car ici, les atouts sont légion, avec : des villages chargés d’histoire, un riche patrimoine bâti et religieux, une architecture régionale forte et remarquable, des entreprises mondialement connues (comme Kronenbourg, Stoeffler et Hager pour ne nommer que ces trois là), des vins sublimes pour un vignoble pictural, un chef étoilé, des hôtels de charme, eux aussi étoilés, un spa à nul autre pareil, et un environnement agricole où tout pousse ou presque, avec le chou à choucroute en majesté. Le tout au pied du Mont Ste Odile, célèbre pour le monastère qui y trône avec la vie et l’histoire de la Ste Patronne des Alsaciens.
On n’occultera pas le drame aérien qui s’y déroula un soir de Janvier 1992, sur un autre mont tout proche (dénommé le Bloss) et qui de facto accentue le recueillement des hôtes visiteurs en ce haut lieu d’histoire religieuse. Dominant la plaine d’Alsace le Mont Saint Odile offre aux pèlerins et visiteurs un panorama à 180° qui s’étend bien au-delà du Rhin, ce fleuve qui marque la frontière entre Allemagne et France.
On peut ainsi facilement admirer, par temps clair, l’alter ego du Massif des Vosges, à savoir la Forêt Noire. Ces deux massifs, quasi identiques, encadrent le Bassin Rhénan, cette plaine fertile abritant agriculture diversifiée, vignobles aux sept cépages capiteux, et des villages qu’on dirait en compétition au titre de leur beauté affichée. Oui il y a tant à voir et à faire à Obernai et dans ses communes environnantes, que la liste est sans fin : flâner dans le vieil Obernai, admirer les façades historiques et colorées entourant la place du Marché et son beffroi, se pencher au-dessus du puits à six seaux et faire un vœu, ou bien encore lever les yeux vers le ciel pour observer les nids de cigognes au sommets des cheminées.
Faire aussi le tour des remparts, monter au mémorial des « incorporés de force » d’où la vue est stupéfiante. Séjourner au choix à l’Hôtel « La Cour d’Alsace » et ses jardins remarquables ou bien à « l’Hôtel du Parc » avec son « Yonaguni Spa » à nul autre pareil. Déjeuner au winstub « l’Agneau d’Or » en parcourant la carte des spécialités Alsaciennes. Dîner dans l’emblématique « Fourchette des Ducs » avec le chef doublement étoilé Nicolas Stamm à la partition. Il vous faudra aussi enfourcher un VTTAE (Vélo tout terrain à assistance électrique) pour grimper à Bernardswiller et rencontrer la famille Motz, goûter leurs vins et visiter la commune en compagnie de Martine Motz, une férue d’histoire locale. Enfin, une visite s’impose à la Maison Le Pic à Meistratzheim, où Sébastien Muller, cultive, récolte et transforme plusieurs variétés de choux pour en faire de la choucroute.
Cette maison fêtera ses 50 ans d’activité l’année prochaine, et elle sait de quoi elle parle, avec 70% de la production nationale de choucroute réalisée en Alsace, dont 15% chez eux. La Choucroute qui a, rappelons le, obtenu son IGP (Indication Géographique Protégée) depuis bientôt 3 ans déjà.
Ainsi tous ces acteurs du tourisme, de l’accueil, de l’hôtellerie restauration, des services et de l’industrie agro-alimentaire ont su être appuyé par l’enthousiasme du maire d’Obernai : Bernard Fischer qui a un amour immodérée pour sa ville et qui sait transmettre sa passion, ses passions. On comprend alors très vite le sens et le tempo de cette campagne : « Partageons nos coups de cœur Obernai et Terre de Sainte Odile ». Là où réalisme, pragmatisme et passion se conjuguent au quotidien. https://www.tourisme-obernai.fr/fr/ https://www.cour-alsace.com/fr/ https://www.le-parc.com/fr/ http://www.lepic.fr
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
http://www.infotravel.fr/voyages-insolites/compagnie-volotea-deploie-ailes/