Premières tendances pour la période estivale : Près de 120 000 Français·es ont déjà prévu leurs vacances en échangeant leur logement
Partir en vacances semble être un défi économique pour beaucoup. Pourtant, l’échange de maisons se présente comme la solution idéale pour voyager sans se ruiner… et bien plus encore ! Cet été, plus de 120 000 Français·es pourront partir grâce à cette pratique, toutes et tous membres de HomeExchange, la première communauté mondiale d’échange de maisons.
Avec une augmentation de +28% du nombre d’échanges par rapport à la saison estivale dernière, HomeExchange démontre qu’un autre modèle de tourisme est possible : plus accessible mais aussi plus humain et plus durable. Chaque échange permet à des personnes de partir en vacances sans pression financière, à des logements de continuer à être occupés sans être loués, et à un mode de voyage de profiter à la société. Zoom sur les progrès enregistrés à date par la plateforme de juillet à août 2025, reflet d’un concept sain qui séduit de plus en plus d’adeptes.
Près de 30 000 échanges de logement sont déjà planifiés dans l’Hexagone pour la période estivale
Les mois de juillet et août s’annoncent particulièrement animés au sein de la communauté d’échangeur·ses de maisons en France, avec une croissance marquée de +28%, atteignant un total de près de 77 500 échanges, soit 2,5 millions de nuitées, à date. Près de 300 000 adeptes (+28 % vs 2024 à la même période), principalement venus de France, d’Espagne, du Canada et d’Italie, ont choisi la France pour leur échange de maisons. Une dynamique qui reflète l’envie croissante de voyager autrement. Ce phénomène ne se limite donc pas à l’augmentation du nombre d’échanges, mais reflète plutôt une évolution dans les attentes des voyageur·ses, toujours plus nombreux·ses à privilégier des vacances accessibles et humaines.
Où iront les Français·es pendant cette période ?
117 000 Français·es ont déjà planifié près de 30 000 échanges (+32% vs 2024 à la même période), représentant plus de 974 000 nuitées (+26%). Si le voyage local et la France restent leur choix favoris (55%), les Français·es sont aussi nombreux·ses à s’envoler vers l’Espagne, le Canada ou encore l’Italie.
L’Auvergne-Rhône-Alpes, territoire le plus convoité pour l’été
Cette année, cinq régions se distinguent plus particulièrement par leur popularité :
Auvergne-Rhône-Alpes
Avec 4 080 échanges prévus (+35% vs 2024) cet été, la région confirme son attrait pour un été au vert, entre montagnes, baignades en eaux douces et escapades culturelles. De Lyon à Annecy, en passant par Aix-les-Bains ou Passy, près de 17 000 voyageur·ses ont déjà choisi ce territoire aux paysages variés et au riche patrimoine.
☀️ Provence-Alpes-Côte d’Azur
Avec 4 080 échanges déjà prévus également (+35% vs 2024) et plus de 15 500 voyageur·ses, la région reste un classique de l’été. Entre Méditerranée, villages provençaux et villes emblématiques comme Nice, Marseille, Avignon ou Antibes, elle offre un large éventail d’expériences… à vivre comme un local grâce à l’échange de maisons.
Bretagne
La Bretagne enregistre 3 810 échanges à date (+30%) et plus de 15 400 voyageur·ses attendus. Entre air iodé, villes côtières comme Saint-Malo, Vannes ou Concarneau, et petites cités de caractère, elle séduit familles et voyageur·ses en quête de nature et de calme, loin de l’agitation touristique.
Nouvelle-Aquitaine
Avec 3 785 échanges prévus (+36%) et plus de 15 400 voyageur·ses, la région attire pour son art de vivre et ses paysages variés : Bordeaux, La Rochelle, Biarritz, Anglet ou Bayonne figurent parmi les villes les plus prisées pour un été entre océan, balades et apéros face à la mer.
Occitanie
3 600 échanges sont déjà enregistrés (+35%) pour un total de 14 550 voyageur·ses. Des villes comme Toulouse, Montpellier, Nîmes ou Sète attirent par leur richesse culturelle et leur douceur de vivre. Entre bains de soleil, visites historiques et gastronomie locale, Grâce à l’échange de maisons, les vacancier·es y trouvent une manière plus authentique et conviviale de découvrir le sud : en prenant le temps, en tissant du lien et en vivant comme des habitant·es.