Connu pour ses élevages d’oies et de canards, ses bastides bien préservées, son Armagnac et son doux relief, le Gers regorge d’adresses intimistes à découvrir sans plus attendre. Whaka Lodge : Au cœur de paysages qui alternent coteaux, vallées, lacs et forêts, Whaka Lodge, domaine insolite, chic et nature, bénéficie d’une situation exceptionnelle, pour prendre un grand bol d’air pur, vivre des vacances au rythme de la nature ou se mettre au vert en télétravail. Ici, il est possible de dormir dans une cabane avec jacuzzi, qui trône sur la terrasse, ou un cottage confort au bord de l’eau, jouer aux aventuriers dans une tente explorateur, ou rêver dans un Lodge grand luxe, ou bien encore planter sa tente sous les chênes, et télé-travailler au vert. Nathalie et Patrick, les fondateurs de Whaka Lodge, magnifique domaine de 12 hectares, est situé dans le Gers profond. Ces amoureux du voyage, et des îles, ont repris (et renommé) la propriété il y a un an, pour en faire un écoresort branché, à l’exotisme inattendu, au cœur de la campagne française. Parce qu’aujourd’hui, on réfléchit à deux fois avant de prendre un billet d’avion, pour le bout du monde. A Whaka Lodge, au bord du lac de Seissan, ils ont imaginé un « ailleurs » sans avoir besoin de partir loin.
Car Whaka Lodge, c’est 12 hectares de lacs et de forêt, une plage de sable blanc avec lac de baignade, kayak, pêche, paddle, un ponton zen au bord de l’eau pour faire du yoga, un « food & wine » bar pour se retrouver pour des moments de partage, en famille, ou entre amis face au lac… Une expérience «slow tourisme» pour profiter de chaque instant.
https://www.whakalodge.com Le Florida : Le Florida est une maison d’hôtes, une adresse confidentielle, parfaite pour se déconnecter du stress citadin. L’ensemble ne compte que 4 chambres et Suites : deux au premier étage, ouvertes en 2014, et deux autres au 2e étage, ouvertes récemment, dans les anciens combles aménagés. Les Suites comprennent un jacuzzi privé. Ici, pas de tape à l’œil : ces refuges au design empreint d’une rusticité épurée offrent un cadre hors du temps.
Le lin s’y décline en voilages, coussins et linge de lit pour apporter une touche personnelle au décor et composer une ambiance douce et sereine. Toutes les chambres ont vue sur leur terrasse privative ou sur le jardin, pour une luminosité maximale. Baptiste Ramounéda, l’actuel propriétaire, a travaillé 15 ans dans l’industrie du luxe et de la mode avant de revenir dans le Gers, il y a 8 ans, après un tour du monde. A l’origine de ce lieu né en 1935, Angèle Abadie, arrière-grand-mère de Baptiste.
Passionnée de cuisine, et propriétaire du restaurant, elle fleurissait abondamment son auberge. D’où l’origine de ce nom « Le Florida » donnée par les nombreux exilés espagnols de la région qui ont ainsi baptisé cette bâtisse : “la casa florída“, la maison fleurie. Quelques années plus tard, c’est le père de Baptiste qui s’installe en cuisine et fait de cette adresse un incontournable de la région. Personne ne peut se souvenir avoir connu le bourg sans cette maison de famille. En reprenant le Florida, Baptiste a fait évoluer le restaurant familial en une auberge contemporaine de quatre chambres et Suites, avec jacuzzis privés, et restaurant gastronomique classé Michelin et Fooding. https://www.lefloridagascony.fr Le Gers, une certaine image de la France rurale et authentique, où il fait bon vivre en langue d’oc, avec des tonalités gasconnes toutes proches. Le bonheur est dans le pré mais aussi dans les assiettes et dans les cœurs.
Richard BAYON est un Parisien émigré en Touraine, qui a vécu tantôt dans la capitale, tantôt dans la cité Tourangelle. Parfois, il dit vivre entre Seine et Loire, mais c’est bel et bien au bord du fleuve classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité (‘World Heritage’ en anglais) qu’il vit, et même très exactement à 150m de l’indomptable Loire.
Atteint d’une maladie incurable appelée ‘la bougeotte’ ou ‘la voyagite aigue’, il totalise 107 nations, pays et autres terres éloignées au compteur. Des pays, où il a séjourné de quelques heures à plusieurs mois, dont certains états où il a eu l’occasion d’y passer et repasser plus de 40 fois.
Affublé par un confrère Grand Reporter du joli sobriquet de ‘Morpion de Carlingue’ parce que passionné d’aviation commerciale, et de transport aérien en général, il prétend avoir pris l’avion près de deux mille fois sur les cinq continents mais s’impatiente d’avoir encore tant de choses à voir.
Sur sa réussite, l’homme est très critique, mais aussi réaliste : ‘je ne sais pas, ou n’ai pas fait un milliard de choses, que tout un chacun sait, connaît, ou a fait ; mais j’ai fait, vu et rencontré un milliard de choses que beaucoup ne verront sans doute jamais.
Au chapitre des prétentions, il en affiche deux sans vergogne : avoir un sens de l’orientation, donc de la géographie du monde, hors du commun, vraiment hors du commun (il prétend aller plus vite que n’importe quel GPS : ndlr) et parle sept langues quasi couramment et peut se faire comprendre dans cinq autres.
Question destinations ou pays préférés, sept paysages lui viennent de suite à l’esprit : le Vert de l’Ouest Irlandais, les Fjords Norvégiens, le Bleu et Blanc des îles Grecques, les Cirques de la Réunion, les Dunes de Sable du Ténéré, les Icebergs du Groenland, et les Rues pleines de vie de Bangkok en Thaïlande.
Ainsi de toutes ses pérégrinations : il sait que cinq choses le fascinent plus que tout: l’Immensité des Déserts, l’Inaccessible des Volcans, l’Intensité des Glaciers et des Icebergs, le‘Haka’ des All Blacks et la Force Tranquille des Eléphants.
De Queenstown en Nouvelle Zélande jusqu’à Illulissat au Groenland et de Johannesburg à Bangkok, il a roulé sa bosse, lui prétend surtout qu’il a ouvert ses yeux, et que ses voyages, tous ses voyages c’est son université permanente.
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